Accueil ... Nos voyages ... Les 3 Amériques .... Parcours 2 - 2011

 

 

 

Nos voyages

Parcours 2

 

  

 

Les escales
 

       

Brésil  -  Belem  -  Santarem  -  Manaus  -  Parintins  -  Guyane française  -  La Barbade  -  Ste Lucie  -  La Guadeloupe

         

 

Photos
   

    

Poterie d'Icoaracy, Alter do Chao, Santarem  -  Manaus  -  Parintins  -  La Barbade  -  Ste Lucie  -  Guadeloupe

    

 

Vidéos
   

  

Montée dans un palmier par un autochtone de 71 ans  -   Réaction d'une sensitive  -  Essorage du manioc  -  Broyage du manioc  -  En bateau vers le lac de Janauarie  -  Concert à l'opéra de Manaus  -  Orchestre de rue à Manaus  -  Descente de la chaloupe  -  Le spectacle indien à Parintins  -  La fabrique de cigares  -  Musique animation de rue  -  Danse du cacao !  Pressage de la canne à sucre avec un âne

  

 

 

          

  


Fiche croisière

 

 L'Amazone   

 

  

Son nom vient du mythe grec, les espagnols ayant vu de grandes femmes guerrières (1542) ont donné ce nom au fleuve qui ne s'appelle comme ça qu'au Brésil.

  

Le plus long fleuve au monde de 6880Km aux dernières nouvelles d'après National Géographics

Sa largeur moyenne est de 2 km mais peut atteindre 100Km en période de crue

Sa profondeur est de 30 à 40m

Le débit est 75 fois celui du Nil, c'est le fleuve le plus puissant du monde. 1 journée de débit correspond au débit de une année de la Seine. Une centaine de cours d'eau alimentent ce fleuve.

Largeur de l'embouchure 320 Km

 

 

 6 février 20116 février 2011 Belém   

Ө 30°C Pluvieux

      

 Excursion sur la rivière Guamát le village d'et le village d'Icoaracy, un bateau régional est venu nous chercher au Princess Danaé et nous a amené dans un étroit serré où nous avons pu voir au plus près les maisons sur pilotis et le mode de vie des habitants.

 

L' arrivée sur le ponton pour visiter la forêt fut folklorique. Notre bateau s'est planté sur un banc de sable et il a fallut se faire tirer par un autre bateau. Notre capitaine n'était pas doué pour apponter à marée basse.

 

Après de nombreux échecs, j'étais à coté d'un matelot qui devait lancer un "bout" pour accrocher le bateau et  la façon dont il hochait la tête et levait les yeux au ciel montrait bien que le capitaine s'y prenait comme un manche; J''ai vu le capitaine du bateau qui nous avait remorqué lui indiquer la trajectoire qu'il devait prendre pour apponter !!

 

Belém  sur la rivière Guamá

Remorquage pour nous sortir du banc de sable

 

Compte tenu du retard pris, la visite fut expéditive mais bien, compte tenu du retard pris, la visite fut expéditive mais bien ♥♥♥ , nous étions malgré tout dans l'authentique.

 

Nous avons pu observer cette fois ci la végétation déjà vu au parc botanique mais dans leur élément, fruit pour la peinture corporelle, fruit rouge à lèvre, cabosse de cacao que nous avons goutée, nature, bof,  sans saveur ni amertume particulière.

  

 

Réaction d'une sensitive  -  Montée dans un palmier par un autochtone de 71 ans

     
 

 
 

 

Retour à Belém où des cars nous attendaient. L'organisation de l'agence locale fut déplorable. Arrivée au restaurant à 14H00 où se fut la foire d'empoigne pour accéder au buffet qui heureusement était bon.

 

Comme dessert, nous avons eu une glace au cupuaçu, cela a mauvais goût, on a comme du talc dans la bouche,  mais il faut bien gouter le local. Puis la visite à Icoaracyne sera que la visite d'une boutique de poterie où un gars faisait une démo. Mais avec quatre autocars la visualisation était impossible, par contre, les poteries étaient belles.

 

Enfin une excursion qui aurait du être faite en une demi- journée avec seulement la rivière Guamá et retour au bateau. et retour au bateau.

 

Poterie d'Icoaracy

Poterie d'Icoaracy

 

J'ai observé que depuis notre arrivée au Brésil, tous les camions et cars sont équipés du système de gonflage dégonflage sur les roues, les pistes ne doivent pas être loin.

Surprenant retour. Par la navette et par mer calme, alors que nous étions appontés au bateau et qu'il ne restait avec nous que quelques passagers , la chaloupe s'est soulevée provoquant un grand choc contre la passerelle suivi d'autres jusqu'à stabilisation; Une vitre s'est décollée de la coque. Mais pas de blessé. Le coup est arrivé entre deux personnes qui sortaient, cela aurait pu être plus grave. Jusqu'à présent cela reste un mystère, vague rebelle ou passage d'un bateau ??

 

Ce soir j'utilise parfaitement le WIFI des Docks avec mon antenne et je publie 28Mo !

 

Evelyne, notre amie croisiériste, s'est faite agressée en pleine ville. On lui a arraché son collier  avec une croix en or !! comme quoi rien ne les arrêtent! Personne n'est intervenu pour l'aider. 

 

 

 7-8 février 2011 Navigation sur l'Amazone   

 

    

La navigation sur l'amazone est calme et agréable. La végétation change, la canopée peut atteindre 40m de haut. Le fleuve est plus large et nous sommes moins proche des habitations que dans l'Étroit de Breves.

 

 

9 février 2011 Santarém    

Ө 23-25°C Pluvieux

    

Au port où nous accostons un bateau local est à quai et nous voyons les hamacs sur le pont supérieur..

 

Le matin nous partons en excursion sous la pluie dans des cars locaux sans climatisation. Nous étions prévenus il n'y a rien d'autre ici, mais d'un coté, en ouvrant les fenêtres, nous voyons bien dehors. Premier arrêt dans une fabrique de manioc où nous gouterons divers échantillons de recettes à base de manioc.  

 

Alter do Chão

 

Démonstration de l'extraction du latex. Ensuite nous allons à Alter do Chão une station balnéaire locale possédant une magnifique lagune, tour du village avec le guide, ensuite petite virée en solo notamment dans la boutique de vente des objets indiens où les prix sont faramineux. La pluie revient pendant le retour en car et la montée dans le bateau avec un vent latéral nous a trempé jusqu'aux os, pas grave dehors mais dans le bateau avec la clim ça caille !!

 

Santarém  

Bateau local avec les hamacs

 

 

Broyage et essorage du manioc

 
     
 

 
 

 

L'après midi nous nous baladons dans la sympathique petite  ville de Santarém sans prétention, le marché ici est bourré de chinoiseries, nous faisons l'expérience de la poste car déjà ils vendent peu de cartes postales et pas de timbres dans les boutiques. Un vigile nous appuie sur la touche du ticket d'attente prioritaire, malgré cela l'attente fut longue très longue avant que notre numéro ne s'affiche, et se fut quatre timbres par carte, bon deal pour les collectionneurs.

  

Impossible de publier au cyber où il n'y a que des ruptures de réseau. A coté du mirador où l'on peut observer la séparation des eaux entre l'Amazone boueuse et le Tapajós clair, c'est la différence de température qui provoque ce phénomène et il faut de nombreux kilomètres avant que ces eaux se mélangent. Une zone WIFI libre avec prises de courant se trouve à coté du mirador mais impossible de publier quoi que ce soit.

     

Un peu de shoping de souvenirs indiens à prix convenables juste en face d'où nous devons reprendre notre navette.

 

 

 

 

 

  

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10 février 2011 Navigation sur l'Amazone     

Ө 29°C

    

Rien de nouveau au niveau du paysage si ce n'est que l'eau de l'Amazone et de nos WC est de plus en plus boueuse avec de plus en plus de bois et de végétation flottants.

 

 11 février 2011 Manaus   

Ө 35°C

     

Nous aurions pu  rejoindre l'Amazone directement depuis les étroits de Brèves mais en raison de la taille du bateau, des bancs de sable, de l'impossibilité de naviguer de nuit et en raison de l inversion des sens du  courant nous sommes ressortis vers l'Atlantique, avons contourné l'île de MARAJOS et avons pris l'Amazone à son embouchure.

 

MANAUS se situe à environ 1500km de l'embouchure de l'Amazone.

 

Située au cœur de la  jungle, elle doit sa splendeur et sa richesse au caoutchouc (latex), que les indiens utilisaient pour l'étanchéité de leur pirogues. L'invention du pneu de vélo puis de l'automobile ont fait sa richesse de 1844 à 1910. Goodyear avec l'invention de la vulcanisation, Dunlop avec sa valve et Michelin avec l'invention du pneu démontable ont participé à cette richesse. Mais cela n'a duré que 40 ans, suffisamment pour nous laisser de beaux monuments.  

 

Extraction du latex sur l'hévéa

  

Cet Anglais Henry Wickham a eu l'idée d'emporter secrètement des graines de l'Hévéa, l'arbre à latex, et de les planter en Malaisie. Il est le responsable de l'effondrement du marché du caoutchouc amazonien. Aujourd'hui, zone franche depuis 1960, Manaus est à nouveau prospère et sa population de 2 millions d habitants compte 500 000 riches. Il reste cependant des favélas en tôle...

 

Maison de pêcheur sur le lac de Janauarie

Maison de pêcheur sur le lac de Janauarie

   

 

Bateau vers le lac de Janauarie

 
     
 

 
 

Elle n'est plus tournée vers le fleuve mais est un carrefour des voies aériennes.

Ce matin nous prenons un bateau local pour aller voir le lac Janauarie et le lac Victória Régia. Nous   longeons la cote de Manaus avec ses favelas sur pilotis, puis rentrons dans la végétation pour aller aux lacs. Un passage du bateau à la pirogue nous permet de nous approcher sans délicatesse des habitations flottantes.

 

Bonne pêche sur le lac de Janauarie, un poisson chat

Bonne pêche d'un poisson chat

 

Nous allons en bateau local voir la séparation des eaux entre le rio Negro et le rio Solimõés qui est le nom donné ici pour l'Amazone. Cette séparation des eaux, noire pour le Rio Négro, boueuse pour le  Solimõés est due à la différence de température, 20°C pour le rio Negro et 28°C pour l'Amazone (Solimõés), et à la différence de vitesse du courant.

 

L'après midi nous partons en bus pour la visite de la ville, passage au marché moins typique que celui de Bélém, malheureusement il ne pleut pas aujourd'hui et la chaleur est accablante (35°C). On nous donne des bouteilles d'eau glacée dans le bus climatisé et tout cela fait du bien. Puis visite du Palacio Negro et du Musée Indien (Museum do Homem do Norte) intéressants mais non climatisés, les anciens du groupe subissent le martyr.

 

Puis l'apothéose vient avec l'Opéra  (Teatro Amazonas) qui me paraît très grand extérieurement à tel point que j'ai cru qu'il s'agissait d'un autre par rapport à mes lectures, mais la vue de la salle est telle que je la connaissais, magnifique moment inoubliable avec les bouches d'arrivée de la "climatisation" sous les sièges, en fait réalisée grace à de la glace ♥♥♥ .

 

Opera de Manaus - Le teatro Amazonas

Le teatro Amazonas

 

Le soir nous faisons un tour en ville près du port où l'activité est intense, la musique des bars infernale, nous en profitons pour écrire en terrasse nos cartes postales, cette fois-ci nous avons des timbres mais la poste est fermée  jusqu'à demain matin. Un copain me dira qu'ici aussi la communication internet ne passe pas.

 

 

Répétition d'un concert à l'opéra de Manaus - Orchestre de rue à Manaus

     
 

 
 

    

 

 12 - 13  février 2011 Parintins   

Ө 28°C

       

Le bateau bénéficie du sens du courant, nous naviguons vers l'ile de Parintins à plus de 18 nœuds. Arrivée en rade, la première chaloupe avec le staff est mise à la mer mais elle est en panne, alors ils la remonte et les mécaniciens Grecs trouvent la panne et changent les batteries, pendant ce temps le staff à changé de chaloupe.

 

 

Descente de la chaloupe

 
     
 

 
 

 

Nous partons en fin d'après midi pour une promenade en tricycle qui se termine de nuit, le village et la population sont sympas, étrangement typés asiatiques. Il n'y a pas grand chose à voir mais c'est plaisant, les locaux sont équipés de motos japonaises silencieuses, nous visitons l'église.

 

Notre dame de Lourdes, puis la place de la liberté, l'arrivée au Bumbódromo* fut spectaculaire car de jeunes indiennes ( d'une tribu située à 24 heures de trajet de l'ile) nous attendaient pour nous donner des bouteilles d'eau.

 

Tous les hommes avaient le menton qui tombait comme dans les dessins animés de Tex Avery, la cathédrale est fermée et nous finissons le tour par un très beau spectacle Brésilien, des caïpirinha sont  offertes à volonté (cocktail à base de cachaça une eau de vie de canne à sucre avec du citron, du sucre et bourré de glaçons, en sortant ce n'étaient plus les verres qui étaient bourrés.

  

 

Vidéo du spectacle

 
     
 

 
 

 

* Le Bumbódromo c'est le lieu où s'affrontent dans un spectacle le Boi Bumbó une fois par an en juin les équipes des bleus et des rouges. L'ile est séparée à partir du clocher, d'un coté les bleus de l'autre les rouges, coté bleus les panneaux Coca Cola sont bleus.

 

Les jeunes serveuses sont indiennes 

 

Le lendemain matin nous reprenons la chaloupe mais c'est dimanche et nous ne retrouvons pas la même atmosphère, il n'y a aucun cyber ni de WIFI libres.

 

Le bateau repart à 12H30 et fonce grâce au courant à plus de 19 nœuds.

 

Le remarquable conférencier Serge Guiraud nous explique que le spectacle que nous avons vu n'était pas un carnaval mais la mise en scène d'une histoire de leurs traditions, avec la symbolique du jaguar, poisson, perroquet, etc..

 

 

 

 

 

  

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 14-15 - 16 février 2011 en mer   

 

     

Nous terminons l'Amazone par mauvais temps; pluie et vents forts sont de la partie. Arrivés à l'embouchure, le bateau est secoué.

 

Le 15 au matin lors de l'exercice de sauvetage nous sommes en effectif réduit et nous n'irons pas aux chaloupes, la boutique vend des médicaments et des bracelets "magiques" contre le mal de mer.

 

Nous apprenons que Kourou envoi une fusée à 19H04, nous montons sur le pont pour voir le lancement mais comme il ne se passe rien nous descendons. Une femme nous demande si nous avons vu quelque chose car elle elle a vu le lancement !

 

Quelques minutes plus tard un appel micro nous annonce que la fusée n'est pas partie car une alarme s'est déclenchée au niveau des réservoirs. Mais plus ennuyant, l'escale aux iles du salut est annulée car les îles sont dans la zone qui doit être évacuée lors des lancement. C'est une déception car nous avons eu deux conférences et vu le film papillon. J'avais une prémonition car je ne voyais pas comment ils allaient utiliser les chaloupes avec une telle mer, le bateau va donc directement à la Barbade.

 

 

17 - 18 - 19 février 2011 La Barbade    

Ө 27°C

      

Nous faisons escale à Bridgetown.

  

Nous récupérons une journée supplémentaire, suite à l'abandon de la visite des îles du salut. Le premier soir nous allons à pied au centre ville qui est à 25mn du port. La population est très très noire, avec un fort pourcentage de Rastas. Pas de sentiment d'insécurité cependant.

 

terminal routier

La Barbade - Musique de rue dans Bridgetown

Musique de rue dans Bridgetown

 

Le 18 excursion à la plantation d'orchidées suivi de l'église St George où le point de vue est beau, puis visite d'une ancienne maison de planteurs, remplie d'objets d'époque. Le WIFI du terminal portuaire est en panne, ils ont aussi enlevé les PC du cyber, nous en trouvons un repéré hier soir où je peux enfin publier, Orange est inaccessible. L'après midi nous faisons un petit tour en ville avec arrêt à la fabrique de cigares, et visite du marché aux poissons où nous voyons les poissons volants.

 

Le 19 nous partons avec 4 copains pour la visite de l'île ♥♥♥ (34 x20 Km) en minibus. L'après midi nous retournons au centre ville où nous emmenons nos voisins de table notamment à la Swan street remplie uniquement de noirs et au marché rasta -  supers avec leur haute "casquette"!

 

 

Fabrique de cigares

 
     
 

 
 

 

Musique animation de rue

 
     
 

 

 

 

Étonnante ville Bridgetown où dans le centre ville à part la marina il n'y a aucun bar ou restaurant, il n'y a que KFC ou sa copie conforme Chefette, des fast food, Mc Do a abandonné l'île car il a été boycotté par la population.

 

 

 

 

 

  

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20 février 2011 Ste Lucie    

Ө 27°C

      

Nous faisons escale à Castries.

 

Magnifique journée à Ste Lucie ♥♥♥ où nous avons commencé notre excursion par une navigation sur catamaran depuis le port de Castries jusqu'à Soufrière, le paysage était beau mais le catamaran tournait avec son moteur diesel.

 

Nous avons débarqué au village de la Soufrière et  nous nous sommes dirigés en car dans un magnifique paysage jusqu'au volcan de Soufrière. Ensuite la Still plantation où nous mangeons de bonnes spécialités créoles, suivi  d'un petit tour dans la propriété ( elle fait 2000ha ), où nous voyons des fleurs et fruits, quelques démonstrations d'ouverture de noix de coco avec dégustation, travail de la cabosse de cacao avec les tiroirs de séchage repliables en cas de pluie, de la séparation de la coque du cacao (danse du cacao, et pressage de la canne à sucre avec un âne.

 

Tiroir de séchage du cacao rétractable en cas de pluie

Tiroir de séchage du cacao rétractable en cas de pluie

 

Retour vers Castries en car avec passage de nouveau à Soufrière, puis au village de pêcheurs de Rance la Raye où un punch nous attendait, puis Marigot bay.

  

 

Danse du cacao !  
     
 

 

 

 

Pressage de la canne à sucre avec un âne

     
 

 

 
 

 

Étonnants propos de notre guide: Suite à une question concernant les accidents routiers (18 morts en 2010), il nous répond qu'ici les morts les plus nombreux sont dus aux rixes entre gangs, 48 morts en 2010, 7 la semaines dernière, conséquence d'après le guide c'est que cela donne cinq femmes pour un homme sur l'île.

   

 

 

 

 

  

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 21 février 2011 Guadeloupe   

Ө 25°C

       

Nous faisons escale à Pointe à pitre, dont le nom viendrait de Pointe à Pieter un hollandais vendeur de matériel pour la navigation qui habitait ici..

 

 Marché à Pointe à Pitre

 

Promenade dans Pointe à Pitre le matin puis excursion l'après midi à la cascade des écrevisses et au Domaine de Valombreuse où nous apprécions la végétation.

 

 

 

 

 

  

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